Marque d'appartenance
A l'époque où Fany jouait le jeu de Dominatrice, je lui avais confié que j'aimerais porter en gage de ma soumission un bijou ou une marque d'appartenance. Elle fût enjouée de cette révélation. Quelques jours plus tard elle m'offrit un joli petit écrin que je m'empressai d'ouvrir. C'était un beau collier...Enfin, un bijou ique que l'on trouve dans toutes bijouteries. Je ne vous cache pas que je fus un peu déçu ; moi qui m'attendais à quelque chose de très explicite qui m'aurait contraint de jouer de ruses pour éviter qu'elle ne soit découverte. Quoi qu'il en soit, cette chaine je la porte encore.
Dans mes troubles pensées, j'imagine que ma Maîtresse inscrive un qualificatif humiliant sur mon corps au marqueur indélébile ou encore qu'elle m'impose le port d'un objet contraignant qui me rappelle tout au long de la journée ma condition consenti d'homme soumis. A ce sujet, je me souviens qu'un jour j'avais voulu surprendre Fany en lui faisant une petite surprise. J'avais trouvé dans le fond d'un tiroir un anneau de rideau en plastique. Celui-ci m'inspira et, après l'avoir lavé, je l'ai installé à la base de mon sexe, passant derrière les testicules. Ce n'était absolument pas douloureux, aussi je décidais de le garder pour sortir avec ma Belle chez des amis. Lors de la soirée, je me suis vite rendu compte que même si cette anneau n'était pas douloureux, il provoquait une gêne certaine qui m'imposait une démarche non assurée. De plus ce simple anneau avait pour effet de former un « gros paquet » non discret sous mon pantalon. Je profitais d'un moment où nous étions seuls avec Fany pour lui prendre la main et la poser sur mon entre jambe. Elle me demanda à voix basse ce que c'était et je lui répondis qu'elle le découvrirait à la maison. Cette situation m'avait excité et du coup, l'anneau compressait encore plus fortement mes attributs. De retour à la maison, ma Douce découvrit ce qui se cachait sous mon boxer. Elle sourit...